prénom(s) et nom : Ivy étant le prénom que ses parents lui ont attitré. Elle n'a pas à se plaindre, elle aime bien son prénom à vrai dire, c'est pas trop extravagant du genre '- salut, moi c'est cocaïne - laisse moi deviner, ta mère t'as eu à 12 ans et elle pensait que cocaïne c'était la dernière marque de bonbon à la mode ?' ni trop arriéré dans le style Elizabeth Constantine. Alors ouais, elle est pas mal tombée avec Ivy. Leah comme le prénom de sa mère. C'est son père qui avait absolument voulu que le nom de son épouse soit le deuxième prénom de sa fille. Ivy n'étant pas la plus grand fan de sa figure maternelle, elle tend à vouloir oublier qu'elle a hérité de son prénom, essayant tant bien que mal de se détacher de cette femme. Et puis finalement Keegan-Morris. Enfant née hors mariage, elle a hérité des noms de ses deux parents, Keegan lui venant de sa mère et Morris de son père. âge : dix-huit ans. orientation sexuelle : hétérosexuelle. statut civil : célibataire. date et lieu de naissance : née le douze mars 1995 avec un mois d'avance à Oxford alors que ses parents visitaient la soeur de son paternel. nationalité : anglaise. métier/études : elle va étudier à l'Université de Bristol pour finir diplômée en lettres modernes. Elle ne sait cependant pas ce qu'elle aimerait faire après son diplôme.  groupe : drink to forget.

là tu blablates sur toi en gros tu nous dévoiles qui t'es en quelques lignes pas besoin de faire un grand discours si t'as la flemme (et éclate-toi si au contraire t'as envie).

« Vas pas me dire que ça te dérange pas que ta femme aille se taper le voisin. Que tout le quartier sache que t'es un de cocu et que t'en as pas assez dans le calebut pour quitter cette putain. » Les mots fusaient de sa bouche sans qu'elle ne puisse vraiment réfléchir et la large main de son paternel se claqua sur sa joue, laissant une marque rougeâtre sur son passage. Ivy prit son visage dans ses mains, n'osant croiser le regard de son père. « Ne parle plus jamais de ta mère comme cela. » dit-il simplement avant de quitter la pièce, laissant sa fille, du haut de ses seize ans dans l'incompréhension et la colère. Il faut comprendre qu'Ivy n'avait jamais eu une relation mère/fille très traditionnelle. Dès son plus jeune âge, elle avait été très garçon manqué et sa mère, femme de bonne famille très religieuse et stricte avait du mal à accepter que sa fille ne veuille pas porter de robes ou faire de la danse plutôt que du skate-board. Plus tard lorsqu'Ivy osa dire qu'elle ne croyait pas en Dieu, sa mère se croyait perdue, étant destinée pour les enfers, elle qui avait échoué à éduquer sa fille dans l'esprit catholique. Ivy lui en avait toujours voulu. D'avoir été si stricte, si dure avec elle. Alors lorsque sa mère trompa son père, homme qu'Ivy admirait et idolâtrait, elle raya cette femme de son existence. Le fait qu'elle vive toujours chez ses parents rend la tâche plus difficile mais la jeune femme est assez ingénieuse lorsqu'il en vient à faire souffrir la femme qui l'a mise au monde. La majorité du temps, elle n'est pas chez elle de toute façon.

adriel ici. yup. texte ici lorsque j'aurais le courage de l'écrire m'enfin il est 1h17 du matin alors mes talents d'écrivain ne vont pas être au top. bref ce texte ne mène à rien, juste ici pour combler l'espace vu que mon pc ne veut pas ouvrir le lorem ipsum site. adriel ici. yup. texte ici lorsque j'aurais le courage de l'écrire m'enfin il est 1h17 du matin alors mes talents d'écrivain ne vont pas être au top. bref ce texte ne mène à rien, juste ici pour combler l'espace vu que mon pc ne veut pas ouvrir le lorem ipsum site. adriel ici. yup. texte ici lorsque j'aurais le courage de l'écrire m'enfin il est 1h17 du matin alors mes talents d'écrivain ne vont pas être au top. bref ce texte ne mène à rien, juste ici pour combler l'espace vu que mon pc ne veut pas ouvrir le lorem ipsum site.