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| Sujet: (f/libre) lily collins Dim 3 Nov - 15:39 | | | PRÉNOM(S) ET NOM:Marley Keller, un prénom original sans réellement être connu, peut-être que dans les prochaines années il le deviendra (négociable). SURNOMS: A définir. ÂGE: 22 ans. NATIONALITÉ: Anglaise et au choix. ORIENTATION SEXUELLE: Hétérosexuelle. STATUT CIVIL: Elle se considère en couple, le monde la considère en couple, Clyde la pense comme une éternelle célibataire. EMPLOI/ÉTUDES: Je l'imagine bien étudiant la littérature tout en finalisant un bouquin (une réécriture de sa relation avec Clyde). Voir dans un autre domaine artistique. Dans tous les cas, elle fait des études et est vouée à de grandes choses. SITUATION FINANCIÈRE: Pour vivre comme le fait Marley il faut apprendre à compter chaque centimes histoire d'atteindre la fin du mois. AVATAR: Lily Collins. (négociable)CRÉDIT: (uc & tumblr)
---------------------------------------- ✎ Marley n'a pas eu une vie facile (père ou mère absent, pourquoi pas tombé dans la drogue, un proche dont elle devait s'occuper, un petit frère, une petite soeur, à vous d'y réfléchir), ce qui explique son dégout vis à vis de Bristol et son désir ardent de rester éloigné des emmerdes. Néanmoins à chaque nouveau coup qu'elle a prit elle s'est défendue. Se battant de plus en plus fortement la belle s'est forgée un caractère d'acier. Malgré tout, c'est une fille qui prend la vie du bon côté, ce n'est pas parce qu'elle a eu un passé douloureux que le monde s'arrête. C'est le genre de fille à rouler la fenêtre ouverte en passant sa tête par celle-ci pour sentir le vent sur son visage. Le genre a aller se baigner même s'il fait à peine cinq degrés parce qu'elle veut se sentir vivante. C'est un paradoxe sur pattes, elle profite de la vie à cent à l'heure parce que tout peut disparaitre en un instant, ça ne l'empêche pas d'être extrêmement critique ou irritante parfois. Elle a vécu, elle a gagné et perdu. Sa vie n'est ni toute rose, ni complètement noir. C'est une jeune femme qui galère, qui a besoin d'un job en plus de sa bourse pour arriver à joindre les deux bouts. C'est une force de la nature, une jeune femme avec un sacré caractère.
---------------------------------------- ✎ Marley est complexe. C'est à la fois une jeune femme contemplative et délicate, tout en étant active et direct. Elle est cynique, peut être froide et cinglante quand on la blesse ou qu'on blesse une personne qu'elle aime. Il n'empêche que le reste du temps elle sait se montrer parfaite sous tous les angles. Elle manie les apparences avec brio et ne montre sa vrai nature qu'aux personnes qui le méritent. C'est une amoureuse des causes perdues et ça finira par la perdre, mais elle préfère avoir vécu et s'être perdu que de ne pas avoir vécu du tout. |
CLYDE LARKIN; La relation qui unit Clyde et Marley est étrange, faite de silence, de non-dits, rongée par la peur, par le besoin de l’autre, par un total abandon. Clyde est terrifié, terrifié à l’idée qu’il pourrait s’accrocher à ce petit bout de femme trop cynique à son gout, trop intellectuelle, ayant trop les pieds sur terre, représentant ce qu’il a toujours désiré. Il ne peut pas se le permettre, Marley lui donne le gout de fuir, l’envie de partir. Il sait que s’il continue à la fréquenter un jour il va prendre ses affaires et s’enfuir avec la belle. Alors il la fuit, il essaye en tout cas. Cependant toutes ses tentatives sont des échecs pitoyables. Il la repousse, gueule un coup, casse des trucs, mais au final c’est lui qui vient ramper à sa porte en la suppliant d’oublier ses erreurs. Tout le monde sait, tout le monde sent ce que Clyde ne peut dire. Il l’aime, c’est con, mais il est amoureux. Il sait que quand il la voit son cœur se met à battre bizarrement et que la seule chose qu’il désir c’est de pouvoir la serrer dans ses bras. Malheureusement, il ne sait pas comment aimer correctement, comment faire pour montrer ses sentiments. Alors il la couve du regard, aboie sur le moindre gars qui a le malheur de trop s’approcher, mord quiconque elle tente de draguer. Il ne se rend pas compte de ce qu’il fait, elle lui appartient, elle est à lui et peu importe ce que le monde en pense, la possession et la seule chose qui prouve que l’amour est réel et s’il ne peut la posséder personne d’autre ne le pourra. Il l’aime, il la déteste. Il refuse de s’attacher, mais quand elle part c’est lui qui pleurniche pour qu’elle reste. C’est con, débile, stupide, il va dans un mur mais il adore ça, il veut se crasher avec elle, il veut se foutre en l’air, tout faire pour oublier que le monde a pu exister sans elle. Marley quant à elle n’arrive pas à fuir. Elle l’a senti, la première fois qu’elle l’a vu, elle le savait dés le début qu’il allait lui apporter des problèmes. Elle qui cherchait à se créer une vie tranquille n’a pu éloigner ce tas d’emmerde ambulant qu’était Clyde. Elle est tombée doucement avant de s’écraser au dernier moment. Avant même qu’elle ne puisse dire « merde » s’était fichu, elle était prise, prête à se faire mettre en pièce. Elle était tombé amoureuse de ce con de Clyde, elle ne pouvait plus faire marche arrière, son sourire l’a fait craqué, son côté méchant garçon aussi. Elle est attirée par le danger, alors même qu’elle souhaite s’éloigner de ce dernier. Dans le fond, elle aimerait un peu soigner Clyde, trouver les mots qu’il faut pour le remettre à l’endroit, déplacer les rouages de sa mécanique du cœur afin de le réparer. Lorsqu'elle l'a entendu la première fois, cette chanson sans parole qu'il fredonnait lui vrilla les entrailles, lui explosa la cervelle sans même qu'elle comprenne pourquoi les larmes lui étaient montées aux paupières. Elle sait, elle sait qu'il cache tout à l'intérieur, qu'au fond il aimerait être un autre, mais qu'on ne lui en donne pas la chance. Alors elle passe au dessus des cris, au dessus des accès de violence, de la peur qui lui noue les entrailles quand elle le regarde parfois, parce qu’elle ne veut pas l’abandonner, elle ne peut pas l’abandonner. Dans le fond, elle devrait prendre ses jambes à son coup, s’éloigner le plus possible de ce gars instable qui traine dans trop d’affaires louches, mais c’est plus fort qu’elle. Elle a été prise dans sa toile et préférait mourir là plutôt que de se dégager de son emprise. Ils entretiennent une relation fusionnelle, bien trop passionnée. Ils se consument chacun de leur côté et lorsqu’ils se croisent ça crée des étincelles. Clyde aimerait balayer d’un revers de main ses sentiments alors que Marley ne les effacerait pour rien au monde. Ils ne se comprennent pas, à croire qu’ils ne parlent pas la même langue. Les cris, les larmes, leurs disputes se finissent toujours en étreinte brisées. Ils luttent comment ils peuvent contre le monde qui semble vouloir les séparer sans se rendre compte qu’ils sont les artisans de leur propre malheur. Un jour il lui dira qu’il l’aime, un jour elle aura la force de le repousser pour de bon, en attendant ils sont les artisans de leur destruction. - Spoiler:
Grattant les cordes de sa guitare, le brun ne se doutait pas de ce qui lui coulait du bout des doigts. Naturellement, il posa sa voix sur la mélodie qu’il était en train de composer. Marmonnant dans une langue sans nom une chanson qui n’existait alors que dans sa tête. Dans ces rares moments de pure quiétude, dans ces rares moments où la seule chose qui l’habitait était une paix sans faille, Clyde osait rêver. Il rêvait de tout et de rien, surtout d’ailleurs. Il rêvait de monter à la capitale, il rêvait de prendre un train vers n’importe où. Il rêvait de faire son sac, sa guitare dans la main et de partir à l’aventure. Dans le fond, il rêvait très simplement de fuir, d’avoir une vie, une autre vie. Mais, les choses étant ce qu’elles sont, il était cloué à Bristol et la seule chose qu’il espérait était de porter un costume pour le mariage de son frère avant de porter un costume pour l’enterrement de ce dernier. C’était dur d’être le bras droit de l’héritier de l’empire familiale, dure de faire tourner un faux garage qui n’existerait pas s’il n’était pas légalement renseigné comme une entreprise. C’était dur d’être ce qu’on attendait de lui alors qu’il ne désirait être que le contraire. Les yeux clos, ses doigts glissant sans limite sur les cordes, extrayant la musique comme d’autres avant lui extrayaient les diamants des mines, le jeune homme ne savait plus où il était. Comme lorsqu’il était enfant, s’il fermait les yeux assez longtemps il pouvait être qui il voulait, faire ce qu’il voulait. Malheureusement, un bruit sur sa droite l’arracha à cette quiétude sans nom alors qu’il ouvrait les yeux se crispant. Posant ses yeux sur l’inconnue qui venait de l’interrompre, il était bien trop troublé par ce qu’il venait de vivre pour proprement la fusiller du regard. « Certains disent qu’on peut voir l’âme des gens dans leurs créations. » Posant sa guitare à même la nappe de feuille qui recouvrait tout en ce début d’automne, Clyde sortit naturellement une clope de son paquet se l’allumant alors que la jeune femme s’approchait un peu plus. « Et qu’as-tu vu ? » Dans un sourire débonnaire, la jeune femme répondit de façon lacunaire : « Je ne sais pas, mais j’aimerais en savoir plus. » Sans rien ajouter, la belle se remit à marcher, laissant Clyde seule à ses tergiversations. *** Il l’avait revu, une fois, deux fois. Il la croisait par hasard au début, puis il tentait de se trouver sur son chemin, c’était devenu un rituel, une habitude de se trouver dans les pattes de l’autre. Elle avait appris qu’il était un Larkin, il savait qu’elle avait une vie paisible et ne souhaitait rien du bagage qu’il avait. Néanmoins, c’était apocalyptique. Lorsque les deux étaient dans une pièce personne ne pouvait nier l’attraction qui les reliait. Alors naturellement ils ont baisés comme des lapins, une fois, deux fois. Il jurait qu’il n’allait pas la rappeler, mais il finissait toujours par y retourner. Elle disait à ses amies que ça n’était l’histoire que d’une nuit, mais elle retombait aussi tôt dans ses bras. Cette relation était idiot, perdue d’avance, ils fonçaient tout droit dans un mur et pourtant ils aimaient ça. Elle était plus forte qu’un shoot d’héroïne pour lui, il la faisait se consumer rien qu’en la frôlant. « Tu crois qu’il suffit que tu te pointes avec ton sourire Colgate et que je vais t’ouvrir la porte de mon appartement en me pendant à ton cou ? » « C’est un peu l’idée. » Souffla t’il dans ce sourire bourré d’arrogance dont lui seul connaissait le secret. C’était plus fort que lui, il se promettait de supprimer son numéro, ne plus y retourner, mais c’était sa nana, sa drogue, son ecstasy. Elle lui appartenait et il s’en foutait de casser la gueule à tous les idiots qui osaient poser leurs yeux sur elle. Il était prêt à jouer se petit jeu les dix, les vingt prochaines années. Elle était à lui et s’il ne pouvait la posséder, personne d’autre ne le pourrait. Il l’avait sous la peau, il l’avait dans la tête. Elle s’était infiltrée sous son crâne et il ne pouvait le laisser paraître. Tant pis s’il jouait les connards, tant pis si elle devait la détester. Il tenait trop à elle pour la laisser filer. Il ne lui courrait pas après, non il la repoussait, mais dès qu’elle semblait sur le point de disparaître il s’agrippait à elle comme à sa bouée de sauvetage. Et elle, cette idiote sans nom. Cette stupide fille qui s’était laissée aller dans les filets de cet être brisé, tordu et incapable de fonctionner correctement. Qu’est-ce qu’elle croyait ? Qu’est-ce qu’elle espérait ? Dans tous les cas ce n’était pas lui qui allait lui apporter la vie stable et sans problème qu’elle voulait. Ce n’était pas lui qui allait l’éloigner de Bristol alors qu’il cherchait à régner sur cette ville. « J’ai bien eu le message, je te supprime de ma vie, comme on supprime un indésirable et toi tu… » Avant même qu’elle ne finisse sa phrase il l’avait plaqué contre la porte de son appartement, leurs lèvres bien trop proche pour lui laisser une once de lucidité. « Je ne vais pas te laisser filer. » Ce sourire bourré d’arrogance était tellement craquant à cet instant, tellement ingénu. Elle pouvait essayer de lutter, mais elle savait qu’entre les doigts de Clyde elle était comme une poupée dont on avait coupé les fils, incapable de marché, malléable à souhait. Naturellement lorsqu’il déposa ses lèvres sur celles de la belle, leurs deux cœurs se mirent à battre la chamade à l’unisson. Non, ce soir encore il n’allait pas lui faire l’amour, il allait juste la baisé, puis la jeté pour quelques heures avant de revenir à la charge. Non il ne l’aimait pas, il n’était pas capable de s’attacher. Non, c’était purement physique, non ce qu’il désirait ce n’était pas de l’aimer, mais bien de la posséder. Il aimait l’idée, il ne connaissait que cela, la possession. Cette manière tordue et malsaine de montrer son affection. Et elle, elle en rêvait la nuit sans oser le dire. Elle espérait le voir tout en feignant le fuir. Elle était foutue, il l’avait attrapé et elle n’avait aucun espoir d’en réchapper. Clyde était une maladie dont on ne pouvait guérir et elle, elle était en stade terminal.
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| Sujet: Re: (f/libre) lily collins Dim 3 Nov - 15:48 | | Bonjour/Bonsoir à toi très cher invité. Si tu es ici c’est que mon scénario t’a peut-être tapé dans l’œil. Succombe à la tentation, c’est magnifique ! Bon, je vais tâcher de faire court :
AVATAR; L’avatar est entièrement négociable. J’ai, bien entendu, quelques préférences, mais je comprends qu’on ne puisse pas aimer tout le monde. Ainsi, si vous ne pouvez pas voir Lily Collins en peinture, n’hésitez pas à me proposer d’autres idées, je suis plutôt ouverte.
PSEUDO; Le pseudo est là plus comme une indication que comme une obligation. J’aime plutôt bien le prénom Marley, mais faites selon vos goûts. J’aimerais quand même quelque chose de quand même original (pas non plus un truc impossible à écrire).
PRÉSENCE; Je n’ai pas vraiment d’exigence à ce niveau tant que la personne prenant mon scénario ne s’avère pas être un fantôme. J’adore rp, mais c’est toujours bien de passer faire coucou sur le forum. Je suis du genre à répondre plutôt vite, selon mon emploie du temps, donc deux réponses par semaines me semble un grand minimum (mais je suis pas un monstre, je comprends qu’on puisse être occupé.
NIVEAU RP; Je ne pense pas avoir un niveau excellent, mais je fais aisément 600 mots par rp et je peux tripler la mise si je me sens inspirée. Je n’ai pas besoin d’un Shakespeare, mais bien de quelqu’un qui est inspiré par le lien et le personnage de Marley.
Merci d’avoir bien voulu lire jusqu’ici. J’espère que tu prendras Marley (divers surprises à la clé si tu craques). |
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