Invité
Invité
| Sujet: (m/libre) au choix Dim 3 Nov - 15:49 | | | PRÉNOM(S) ET NOM: Marlon est le prénom que la mère de ce dernier lui avait trouvé depuis bien longtemps. Simple, délicat, exotique sans trop l'être. C'était un nom parfait censé définir le plus beau des bébés. Néanmoins, cette douceur du faire face à la dureté, l'implacable destin qui attendait le jeune Larkin en devenir. Le simple fait de s’appeler Larkin en dit long sur le futur de Marlon. Quand on est un Larkin on a que deux choix de carrière possible : se retrouver derrière les barreaux ou alors finir six pieds sous terre avant d’avoir pu profiter de ses vieux jours. Les Larkin sont connus pour de nombreux larcins, même si le véritable réseau que cette famille anglaise à construit n’est pas très clair. Les policiers pensent qu’il s’agit de vendeurs d’armes, d’autres disent qu’ils fournissent les dealeurs de merde de la ville, d’autres encore pensent que les filles de la nuit ce sont eux qui les cames avant de les jeter sur le trottoir. Personne ne sait vraiment, tout le monde parle pourtant. Au final, la seule chose qu'il faut retenir c'est qu'il n'est pas bon de s'élever contre les Larkin quand on a envie de vivre.SURNOMS: A définir. ÂGE: Plus ou moins 27 ans. NATIONALITÉ: Il possède l'Angleterre dans son sang. ORIENTATION SEXUELLE: Au choix. STATUT CIVIL: Au choix. EMPLOI/ÉTUDES: Je l'imagine bien gérant d'un bar ou d'un club huppé voir architecte ou un truc qui donne l'impression qu'il est un ange. En tout cas il possède un boulot de façade, bien qu'une fois la nuit tombé il revient à la source en reprenant ses activités illégale. Depuis un moment le patriarche de la famille est en train de lui donner son héritage, son réseau criminel et tous les pouvoirs que ça implique. En résumer, Marlon c'est le futur big boss. SITUATION FINANCIÈRE: Très aisée et ce depuis toujours. AVATAR: J'imaginais bien Max Irons, mais l'avatar est totalement négociable. CRÉDIT: (aurelie)
---------------------------------------- ✎Marlon possède un petit frère, Clyde, mais lorsqu’on connait la vérité on sait que Marlon et Clyde ne sont que demi-frère. En effet, la mère de Marlon était le véritable amour du patriarche de la famille Larkin. Cette dernière le quitta malgré tout en le laissant avec un gamin sur les bras, la mère de Clyde apparu alors dans la vie de monsieur Larkin et de son fils avant de donner un autre descendant à la famille. Lorsqu’il était enfant, cette femme aimante, loyale à cette famille qu’elle avait épousée en épousant son mari, disparu un soir, tué par un coup de couteau perdu dans une bagarre. X Possède des manières irréprochables et est extrêmement cultivé, ça se voit qu'il ne vient pas du caniveau. X Est d'une loyauté incommensurable vis à vis de son père et de son frère. Etre le prochain patriarche des Larkin est une chose qu'il attend depuis sa plus tendre enfance, il compte bien être aussi honorable que son père dans ce rôle compliqué. X Il considérait la mère de Clyde comme la sienne, affronter la mort de cette dernière s'avéra plus douloureuse que d'apprendre l'abandon de sa génitrice. X Comme tous les membres de la famille Larkin, Marlon a déjà séjourné à plusieurs reprises en prison, à vous de voir pourquoi.
---------------------------------------- ✎ Marlon est un leadeur né. Charismatique, d'une beauté sans pareil, c'est un homme conscient de ses atouts et qui n'hésite pas à en jouer. Intelligent, vif, il semble toujours avoir un coup d'avance sur vous et refuse de perdre le contrôle de la situation. Il a tout du bon chef et a toujours aimé s'imaginer comme tel. C'est un frère aimant, un garçon parfois dur à comprendre, mais entier. Qu'on l'aime ou qu'on ne l'aime pas, ça ne l'atteint pas. Marlon fait les choses à sa manière et peu importe ce que les autres pensent, il vit très bien avec ses fautes. |
CLYDE LARKIN; Clyde et Marlon possèdent une relation sans nul pareil. Elevé ensemble, ils ont traversés les mêmes épreuves, la mort, les doutes, la peur. Liés par le sang, depuis toujours ils ont une confiance totale en l’autre et n’hésiteraient aucunement à donner leur vie à l’autre. Conscient de ce soutien sans faille, ils avancent en veillant sur l’autre même si parfois le disque s’enraille et dérape. Ils n’est pas rare qu’ils en viennent au main quand la situation devient ingérable. Par exemple, lorsque Marlon apprit l’addiction de Clyde, les deux ne purent se regarder dans le blanc des yeux calmement. Il n’empêche qu’au final Marlon fut un soutien sans faille pour Clyde dans cette épreuve douloureuse. Avec la vie qu’ils mènent, ils sont mutuellement le seul élément stable dans la vie de l’autre. Malgré les années, ils se raccrochent toujours à cette promesse idiote qu’ils se sont fait lors de leur jeunesse. Sauf que les choses ont changé, Marlon est sur le point de devenir le big boss et, même s’il sera le bras droit de son ainé, Clyde ne pense qu’à quitter cette vie malsaine qui l’a toujours tourmenté. Le plus jeune des deux étouffes, il n’a néanmoins pas la force de l’admettre, pas la force de se confier à son frère à ce sujet. Il sait que Marlon le prendra mal, qu’il sera blessé et n’acceptera pas son désir de fuir sans rien dire. En effet, Marlon est prêt à tout pour garder Clyde à ses côtés, peu importe ce que ça devra lui couter, il ne veut pas que son frère disparaisse aussi. Mais pour le moment tout est beau dans le meilleur des mondes. Marlon est toujours persuadé que son frère le soutient totalement et n’imagine pas un seul instant que ce dernier puisse rêver d’autre chose. Les choses risquent de mal tourner. - Spoiler:
C’est Marlon qui eu la dur tâche de lui annoncer la nouvelle. Installer devant la télévision, son bol de céréales posé nonchalamment sur les genoux, le petit garçon profitait de l’absence de sa mère pour manger devant ses dessins animés préférés. Riant, la bouche pleine de céréales, l’enfant était toujours dans la fleur de l’âge, toujours au prise de la douceur, de la chaleur de cette ignorance délicate qui s’en va toujours trop tôt. C’est les yeux rougis que Marlon entra dans le salon. Ses cheveux en bataille, un filet à moitié essuyé de larmes coulant de sa joue l’ainé des Larkin ne savait pas comment faire, pas comment le dire. Comment annoncer à cet enfant à l’aube de sa vie que sa mère, la personne qui se doit de l’aimer le plus au monde venait de partir pour un voyage dont elle ne reviendrait jamais ? Comment lui annoncer que lui aussi était orphelin, qu’ils allaient devoir partager une douleur muette et pourtant si virulente ? Marlon était démuni face à cet enfant en train de rire si fort qu’il en avait les larmes aux yeux. Alors, très simplement, il coupa la télévision avant de s’agenouiller devant son jeune frère qui se plaignait. « Je dois t’avouer un truc Junior, je… je sais pas vraiment comment te le dire en fait… »Même pas encore adolescent, Marlon se devait de porter le poids du monde sur ses épaules bien trop frêle. Dans l’encadrement de la porte, le patriarche de la famille regardait ses enfants fondre en larmes dans les bras l’un de l’autre. Il avait aimé Lucy, pas aussi fort que sa précédente femme, mais il avait quand même essayé de l’aimer de tout son cœur. En elle il avait trouvé une épouse, une mère pour son fils, une amie. Alors pourquoi ne pouvait-il pas les garder ? Alors pourquoi devait il imposer un départ précipité de plus à ses garçons ? Un long soupir s’échappa de ses lèvres alors que les yeux de Clyde se posaient sur lui. La tristesse à l’état pur n’a pas de nom, on tente vainement de la nommer, on parle de cœurs brisés, d’âmes fêlées, mais on ne sait jamais ce qu’on nomme. On ne sait jamais de quoi on parle avant de voir les yeux d’un petit garçon de sept ans se transformer en un ruisseau qui part de son cœur pour aller s’écraser au sol. On ne sait pas ce que c’est avant de voir deux enfants se supporter dans cette horreur sans nom, dans ce trouble profond, dans cette ignominie qu’est la disparition d’un être cher, un de plus. « Je suis là Marlon, je vais pas m’en aller… » Les sanglots s’échappant de sa bouche étaient devenus cahoteux, incontrôlable. Malgré tout, Clyde avait réussi à articuler ces quelques mots alors qu’il pensait à toutes les choses qu’il venait de perdre. Toutes les choses qu’il n’aurait plus l’occasion de faire, toutes ces choses qu’il n’aurait plus l’occasion de dire. Alors, les vannes étaient ouverte et sans honte, sans pudeur, il laissait les larmes salées s’échouer sur ses joues avant de dévaler les montagnes de ses pommettes pour venir s’écraser sur le t-shirt froissé de son grand frère. Mais il voulait être fort. Ce petit garçon au cœur brisé ne voulait pas attendre de panser ses blessures pour se remettre sur ses pieds, il voulait être fort comme son père, fort comme sa mère. Il voulait être un pilier pour son grand frère et l’aider à traverser cette vie qui n’offre aucun traitement de faveur. Il le désirait si fort que ça lui nouait les entrailles, que ça lui tordait le cœur dans un pincement douloureux. Sauf que la tristesse était là. Ce monde étrange qui ne prend vie que pour un nombre restreint de personnes. Ce monde dont on ne peut jamais véritablement s’échapper. La tristesse était là, partout. Partout autour de lui et il ne savait pas où regarder pour l’oublier, pour qu’elle disparaisse. Alors, il souffrait, il tentait de souffrir le plus silencieusement possible, mais les cahots incontrôlables qui traversaient son corps frêle le trahissaient. Se défaisant tant bien que mal de l’emprise de son grand frère, Clyde vrilla son regard trouble dans celui de son frère. Reniflant sans grâce, l’enfant essuya ses larmes à l’aide de la manche de son pyjama tâchant de tarir la source de ce mal qui le rongeait. « Promets moi… jure moi que tu vas pas mourir ! Jamais ! Tu vas pas me laisser, tu peux pas. Alors jure moi, jure le moi qu’on vivra toujours parce qu’on peut pas mourir, on peut pas, je veux pas ! » L’océan de ses yeux était trouble, les mots qu’il venait de prononcer étaient pareilles à une tempête. A croire qu’on venait de le jeter en pleine mer et que le seul moyen que Marlon possédait pour le sauver était cette promesse. C’était idiot, une promesse de gamin. Néanmoins au fur et à mesure que les larmes gagnaient du terrain sur Clyde, Marlon se rendait compte à quel point c’était important. Crachant dans sa main droite, Marlon la tendit ensuite vers son frère qui en fit de même. « Juré. »
|
|
Invité
Invité
| Sujet: Re: (m/libre) au choix Dim 3 Nov - 15:51 | | Bonjour/Bonsoir à toi très cher invité. Si tu es ici c’est que mon scénario t’a peut-être tapé dans l’œil. Succombe à la tentation, c’est magnifique ! Bon, je vais tâcher de faire court :
AVATAR; L’avatar est entièrement négociable. J’ai, bien entendu, quelques préférences, mais je comprends qu’on ne puisse pas aimer tout le monde. Ma première idée était Max Irons, mais un gars dans le genre me convient tout autant.
PSEUDO; Le pseudo est là plus comme une indication que comme une obligation. J’aime plutôt bien le prénom Marlon, je voulais juste quelque chose dans la veine de Clyde: un peu classe, mais en même temps pas courant. Bien entendu le nom de famille est obligatoire, mais pour le reste faites selon vos gouts.
PRÉSENCE; Je n’ai pas vraiment d’exigence à ce niveau tant que la personne prenant mon scénario ne s’avère pas être un fantôme. J’adore rp, mais c’est toujours bien de passer faire coucou sur le forum. Je suis du genre à répondre plutôt vite, selon mon emploie du temps, donc deux réponses par semaines me semble un grand minimum (mais je suis pas un monstre, je comprends qu’on puisse être occupé.
NIVEAU RP; Je ne pense pas avoir un niveau excellent, mais je fais aisément 600 mots par rp et je peux tripler la mise si je me sens inspirée. Je n’ai pas besoin d’un Shakespeare, mais bien de quelqu’un qui est inspiré par le lien et le personnage de Marley.
Merci d’avoir bien voulu lire jusqu’ici. J’espère que tu prendras Marlon (divers surprises à la clé si tu craques entre autres choses tu seras le big boss le plus bad ass de tous le pays :poulet: ). |
|